« Pollux et Vador »

Jean-Paul VERNERET

26 / 07 /2025

 

Couplet 1

Je m’souviens, c’était en été

Quand toi mon ami, le plombier

Sans bruit, tu nous l’as amené

Pollux, trois mois, à peine sevré

Et vite, il nous a regardé

Et rapidement adopté

Je m’souviens, c’était en été

Mon chapeau, il l’a déchiqu’té

 

Couplet 2

Et puis est arrivé Vador

Venu dans nos vies aujourd’hui

Pas prévu, pas vraiment choisi

Tout cabossé, il aboie fort

Puis vite se cache, tremblant sans fin

Joue parfois les lions, sans raison

Et Il recherche notre affection

En f’sant des trous dans le jardin

 

Refrain

Un aboiement, un calin

Dans un regard, le matin

Ce sont nos chiens, nos amis

Pour bien longtemps, dans nos vies

Pas un grand besoin de mots

Leurs regards font le boulot

Ils comprennent vite, sans rien dire

Le moindre de nos soupirs.

 

Pont

Pollux qui ronfle

Son ventre gonfle

Vador qui rit

Jamais dehors

Ils n’ont dormi

C’est leur décor

 

Couplet 3

Grand Pollux et petit Vador

Ce sont nos chiens et nos trésors

Ils savent bondir, sur les coussins

Au jardin, ils font leur empire

Ils aiment bien flairer, les chemins

Les feuilles, buissons et papillons

Puis vite ils reviennent, s’endormir

Bien au creux de notre maison.

 

Refrain

Un aboiement, un calin

Dans un regard, le matin

Ce sont nos chiens, nos amis

Pour bien longtemps, dans nos vies

Pas un grand besoin de mots

Leurs regards font le boulot

Ils comprennent vite, sans rien dire

Le moindre de nos soupirs.

 

Pont

Pollux qui ronfle

Son ventre gonfle

Vador qui rit

Jamais dehors

Ils n’ont dormi

C’est leur décor